Французские сказки / Contes de fées français - София Андреевна Бакаева
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3. Укажите род следующих слов:
Chaperon _____
Force _____
Pot _____
Voix _____
Village _____
Porte _____
Forêt _____
Lit _____
Loup _____
Table _____
Bûcheron _____
Bras _____
Moulin _____
Jambe _____
Maison _____
Oreille _____
Chemin _____
Dent _____
4. Ответьте на вопросы:
1) Comment s’appelle la petite fi lle dans ce conte ?
2) Pourquoi appelle-t-on cette petite fi lle « le Petit Chaperon rouge » ?
3) Où et avec qui habite le Petit Chaperon rouge ?
4) Où va la petite fi lle ?
5) Pourquoi va-t-elle voir sa Grandmère ?
6) Qu’est-ce que le Chaperon Rouge apporte à sa Grand-mère ?
7) Qui la petite fi lle rencontre-t-elle dans la forêt ?
8) Pourquoi le Loup ne mange-t-il pas le Petit Chaperon Rouge dans le bois ?
9) Que veut faire le Loup ?
10) Est-ce que la petite fi lle et le Loup prennent le même chemin pour aller chez la Grand-mère ?
11) Qui est allé le plus vite sur le chemin ?
12) Qui a pris le chemin le plus court ?
13) Qui est arrivé le premier chez la Grand-mère ?
14) Que fait le Loup quand il arrive chez la Grand-mère ?
15) Que fait le Loup après avoir mangé la Grand-mère ?
16) Que pense le Petit Chaperon Rouge quand elle entend grand-mère ?
17) Qu’est-ce que la petite fi lle trouve étrange ?
18) Que fait le Loup avec le Petit Chaperon Rouge ?
5. Скажите, какие утверждения верные, а какие нет.
1) Le Petit Chaperon rouge est une petite fi lle qui habite avec sa mère dans un Village.
2) Le Petit Chaperon rouge est partie pour aller chez le Loup.
3) Dans le bois elle a rencontré la GrandMère.
4) Le Loup s’est mis à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus long, et la petite fi lle s’en est allée par le chemin le plus court.
5) Le Loup est très vite arrivé à la maison de la Grand-mère.
6) Le méchant Loup s’est jeté sur les Bûcherons, et les a mangé.
6. Найдите правильные ответы:
1) Ma Grand-mère, pourquoi vous avez de grands bras ?
2) Ma Grand-mère, pourquoi vous avez de grandes jambes ?
3) Ma Grand-mère, pourquoi vous avez de grandes oreilles ?
4) Ma Grand-mère, pourquoi vous avez de grands yeux ?
5) Ma Grand-mère, pourquoi vous avez de grandes dents ?
1) C’est pour mieux courir, mon enfant.
2) C’est pour mieux voir, mon enfant.
3) C’est pour mieux t’embrasser, ma fi lle.
4) C’est pour te manger.
5) C’est pour mieux écouter, mon enfant.
LES FÉES[11]
Il était une fois une veuve qui avait deux fi lles : l’aînée lui ressemblait si fort d’humeur et de visage, que chacun qui la voyait, voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses qu’on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son père pour la douceur et l’honnêteté, était une des plus belles fi lles du monde. Cette mère était folle de sa fi lle aînée, et, en même temps avait une aversion[12] effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger[13] à la cuisine et travailler sans cesse.
Mais encore cette pauvre enfant devait deux fois par jour aller très loin pour puiser de l’eau et rapporter une grande cruche pleine.
Un jour qu’elle était à cette fontaine, une pauvre femme est venue à elle et lui a prié de lui donner à boire.
— Oui, ma bonne mère, a dit cette belle fi lle. Et, rinçant aussitôt sa cruche[14], elle a puisé de l’eau au plus bel endroit de la fontaine et la lui a présenté, soutenant toujours la cruche.
La bonne femme a bu de l’eau et lui a dit :
— Vous êtes si belle, si bonne et si honnête, que je veux beaucoup vous faire un don !
C’était une fée qui avait pris la forme d’une pauvre femme de village, pour essayer l’honnêteté de cette jeune fi lle.
— Je vous donne pour don, a continué la fée, qu’à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou une fl eur, ou une pierre précieuse.
Quand cette belle fi lle est arrivée à la maison, sa mère l’a grondé de revenir si tard de la fontaine.
— Je vous demande pardon, ma mère, a dit cette pauvre fi lle; et, en disant ces mots, il lui est sorti de la bouche deux roses, deux perles et deux gros diamants.
— Que vois-je là ! a dit sa mère toute étonnée ; je crois qu’il lui sort de la bouche des perles et des diamants ! D’où vient cela, ma fi lle ? (C’était la première fois qu’elle l’a appelé sa fi lle.)
La pauvre enfant lui a naïvement raconté tout ce qui lui était arrivé, en jetant une infi nité de diamants.
— Vraiment, a dit la mère, il faut que j’y envoie[15] ma fi lle. Tenez, Fanchon, voyez ce qui sort de la bouche de votre sœur quand elle parle. Vous voulez avoir le même don, n’est-ce pas ? Vous devez aller puiser de l’eau à la fontaine, et, quand une pauvre femme vous demandera à boire, lui donner de l’eau bien honnêtement.
— Je ne veux pas aller à la fontaine ! a répondu la brutale.
— Non, vous y allez et tout à l’heure ! a répété la mère.
La brutale Fanchon y est allée avec le plus beau fl acon